La nuit définitive « Regarde sans frayeur la fin de toutes choses », écrivait François Maynard au XVIIe siècle[1]. Pour le poète, mourir revenait à perdre conscience, la conscience « de toutes choses ». Que mon corps cesse de fonctionner, et voici : je n’aurai plus connaissance du monde. Fin des perceptions, fin de la subjectivité, je sera dissous. « Regarde cela … Lire la suite de Pour la nuit des temps